Respecter la réalité humaine sexuée en supprimant toute mention d’ « identité de genre » dans le droit français.
Le concept d’ « identité de genre » consiste à ériger en identité le ressenti et le comportement de genre plus ou moins féminin-masculin de chaque individu. Par essence, les possibilités sont infinies et ne peuvent constituer de manière objective et stable une « identité » dont le droit (et l’état civil) pourrait tenir compte.
Protéger les crèches de toute intrusion sur les questions d’identité sexuelle afin de laisser les tout-petits grandir et se construire sans perturbation et de respecter le rôle des parents.
Réaffirmer et renforcer la neutralité politique et idéologique de l’Education nationale
Réviser la composition du Conseil supérieur des programmes en incluant des membres enseignants et en veillant à l’équilibre des compétences, des expériences et des sensibilités philosophiques et politiques.
Compléter la mission du Conseil supérieur des programmes de l’attribution d’un label « Education nationale » pour faciliter le meilleur choix par les instituteurs du primaire, par les conseils d’enseignement des collèges et par les régions pour les manuels scolaires qu’elles achètent en vue de leur prêt aux lycéens.
Mettre un terme à la méthode globale d’apprentissage de la lecture et au pédagogisme
Repenser l’éducation affective et sexuelle dispensée en milieu scolaire en respectant l’âge et la maturité des enfants ainsi que leur liberté de conscience et leur intimité, et en respectant la réalité humaine sexuée. Souligner l’impératif du respect de soi-même et de l’autre, sans omettre la question de l’amour en parlant de sexualité.
Intégrer au cours d’éducation civique le respect des autres tout en veillant à éviter toute instrumentalisation au profit de revendications politiques et/ou communautaristes.
Définir les conditions d’octroi d’agrément du Ministère de l’Education nationale pour les associations, notamment en incluant la conformité de leurs objectifs statutaires et de leurs actions à la Convention internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes, à la Convention internationale des droits de l’enfant, à la Convention internationale relative à l’esclavage (et donc revoir la liste actuelle des agréments octroyés).